Curées de Campagne : Millésime 2022
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du Cercle Aristote
La chronique anachronique de Hubert de Champris – Paul Valéry, amoureux de son cerveau
À la nuit tombante, les annuelles Journées Paul Valéry closes, ils s’étaient évaporés ; et voici qu’à la faveur de l’emprunt d’un raccourci nous faisant débouler vers la mer au travers du cimetière marin de Sète, nous les retrouvions, devisant sans doute plus laïquement que religieusement, sur le banc sis devant la tombe de celle que Catherine Pozzi qualifiait en substance (blanche évidemment, neuro-cognition oblige) de fieffé égotiste. Notre dévot duo, composé de Régis Debray et du biographe en chef du fameux écrivain, Michel Jarrety, humait les mânes de cette perpétuelle tête de litote, de cette sorte de Musset qui tremperait sa plume dans l’encrier de Hegel, qui, pour le moins, aurait décidé que l’impressionnisme devait désormais être une science exacte.
« 1715-2015 : Trois siècles après : le symbole de Versailles. Hommage à Louis XIV », par Yves Branca
Si le palais de Versailles, comme les meilleurs historiens l’ont finalement reconnu, figure un « grand dessein » à déchiffrer et à méditer, rien ne peut mieux nous y aider que le plus bref mais le plus juste des portraits que l’on ait faits de son auteur, et qui corrobore si bien ce que révèlent de lui ses étonnants Mémoires pour l’instruction du Dauphin.
La chronique anachronique d’Hubert de Champris : « L’odyssée d’Homair »
« L’odyssée d’Homair », ou comment le tourisme de masse est malgré tout soluble dans la civilisation ? Tel pourrait être le sous-titre de cette petite défense et illustration de la vogue du mobil-home.